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Home/ Solidarité & Précarité/ Group items tagged Ile de France

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Collectif Alerte - Intervention de François Soulage - Stratégie de prévention... - 0 views

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    Alors qu'une "réunion de ministres" doit se tenir ce jeudi 15 mars à Matignon sur la préparation de la stratégie de prévention et de lutte contre la pauvreté des jeunes et des enfants et que les groupes de travail, coordonnés par le délégué interministériel Olivier Noblecourt, doivent remettre dans la soirée leurs préconisations, le collectif Alerte a déjà fait entendre sa voix, en formulant ses propositions mardi lors d'une conférence de presse. Celles-ci ont également été avancées dans le cadre des différents groupes de travail. Alerte regroupe 37 associations de lutte contre l'exclusion, dont l'APF, ATD Quart Monde, Emmaüs, la Fédération des acteurs de la solidarité (ex Fnars) la fondation Abbé-Pierre, Médecins du Monde, le Secours catholique, Soliha, l'Unaf, l'Uniopss.La principale revendication d'Alerte porte sur le périmètre de la démarche engagée par le gouvernement (voir nos articles ci-dessous). En effet, comme l'a expliqué François Soulage, le président du collectif (et ancien président du Secours catholique), "les enfants pauvres vivent dans des familles pauvres. [...] On ne peut donc préparer des mesures pour les enfants sans s'occuper de la situation des familles dans lesquelles ils vivent". De même, "on ne peut traiter les jeunes hors d'un contexte global". Lors de sa récente audition par la commission des affaires sociales de l'Assemblée nationale (voir notre article ci-dessous du 13 février 2018), Olivier Noblecourt, le délégué interministériel à la prévention et à la lutte contre la pauvreté des enfants et des jeunes, avait devancé cette critique en indiquant qu'il ne s'agit pas de "créer un grand soir des politiques sociales" qui remettrait en cause les politiques de ces dernières années, mais d'apporter "une inflexion" sur les jeunes et les enfants, dans la mesure où "c'est aujourd'hui le public qui est le plus directement victime de la pauvreté". Auditionnée à son tour en compagnie de Jean-M
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Collectif Alerte - Communiqué de presse - Stratégie de prévention et de lutte... - 0 views

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    Alors qu'une "réunion de ministres" doit se tenir ce jeudi 15 mars à Matignon sur la préparation de la stratégie de prévention et de lutte contre la pauvreté des jeunes et des enfants et que les groupes de travail, coordonnés par le délégué interministériel Olivier Noblecourt, doivent remettre dans la soirée leurs préconisations, le collectif Alerte a déjà fait entendre sa voix, en formulant ses propositions mardi lors d'une conférence de presse. Celles-ci ont également été avancées dans le cadre des différents groupes de travail. Alerte regroupe 37 associations de lutte contre l'exclusion, dont l'APF, ATD Quart Monde, Emmaüs, la Fédération des acteurs de la solidarité (ex Fnars) la fondation Abbé-Pierre, Médecins du Monde, le Secours catholique, Soliha, l'Unaf, l'Uniopss.La principale revendication d'Alerte porte sur le périmètre de la démarche engagée par le gouvernement (voir nos articles ci-dessous). En effet, comme l'a expliqué François Soulage, le président du collectif (et ancien président du Secours catholique), "les enfants pauvres vivent dans des familles pauvres. [...] On ne peut donc préparer des mesures pour les enfants sans s'occuper de la situation des familles dans lesquelles ils vivent". De même, "on ne peut traiter les jeunes hors d'un contexte global". Lors de sa récente audition par la commission des affaires sociales de l'Assemblée nationale (voir notre article ci-dessous du 13 février 2018), Olivier Noblecourt, le délégué interministériel à la prévention et à la lutte contre la pauvreté des enfants et des jeunes, avait devancé cette critique en indiquant qu'il ne s'agit pas de "créer un grand soir des politiques sociales" qui remettrait en cause les politiques de ces dernières années, mais d'apporter "une inflexion" sur les jeunes et les enfants, dans la mesure où "c'est aujourd'hui le public qui est le plus directement victime de la pauvreté". Auditionnée à son tour en compagnie de Jean-M
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Collectif Alerte - Propositions - Stratégie de prévention et de lutte contre ... - 0 views

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    Alors qu'une "réunion de ministres" doit se tenir ce jeudi 15 mars à Matignon sur la préparation de la stratégie de prévention et de lutte contre la pauvreté des jeunes et des enfants et que les groupes de travail, coordonnés par le délégué interministériel Olivier Noblecourt, doivent remettre dans la soirée leurs préconisations, le collectif Alerte a déjà fait entendre sa voix, en formulant ses propositions mardi lors d'une conférence de presse. Celles-ci ont également été avancées dans le cadre des différents groupes de travail. Alerte regroupe 37 associations de lutte contre l'exclusion, dont l'APF, ATD Quart Monde, Emmaüs, la Fédération des acteurs de la solidarité (ex Fnars) la fondation Abbé-Pierre, Médecins du Monde, le Secours catholique, Soliha, l'Unaf, l'Uniopss.La principale revendication d'Alerte porte sur le périmètre de la démarche engagée par le gouvernement (voir nos articles ci-dessous). En effet, comme l'a expliqué François Soulage, le président du collectif (et ancien président du Secours catholique), "les enfants pauvres vivent dans des familles pauvres. [...] On ne peut donc préparer des mesures pour les enfants sans s'occuper de la situation des familles dans lesquelles ils vivent". De même, "on ne peut traiter les jeunes hors d'un contexte global". Lors de sa récente audition par la commission des affaires sociales de l'Assemblée nationale (voir notre article ci-dessous du 13 février 2018), Olivier Noblecourt, le délégué interministériel à la prévention et à la lutte contre la pauvreté des enfants et des jeunes, avait devancé cette critique en indiquant qu'il ne s'agit pas de "créer un grand soir des politiques sociales" qui remettrait en cause les politiques de ces dernières années, mais d'apporter "une inflexion" sur les jeunes et les enfants, dans la mesure où "c'est aujourd'hui le public qui est le plus directement victime de la pauvreté". Auditionnée à son tour en compagnie de Jean-M
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France Stratégie - Le couple contribue-t-il encore à réduire les inégalités ? - 0 views

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    Entre 1996 et 2015, la hausse de l'activité des femmes a fait chuter les inégalités de revenus entre femmes et hommes. Pour autant, les inégalités de niveaux de vie - celles qui tiennent compte de la structure des ménages et de la redistribution socio-fiscale - sont restées relativement stables. Pour comprendre pourquoi, France Stratégie met en lumière que la France a été marquée non par une mais par trois transformations sociales qui ont modifié la répartition des revenus en France. La Note d'analyse souligne en particulier l'utilité qu'il y a à s'intéresser à un mécanisme trop souvent négligé lorsque l'on cherche à comprendre les évolutions des inégalités en France, celui de la mise en commun des ressources au sein d'un ménage, la « redistribution privée ». France Stratégie montre ainsi que la progression de l'activité féminine a bien réduit les inégalités. Mais, dans le même temps, deux autres évolutions sociales ont joué en sens contraire : La modification des structures familiales induite par les nouveaux modes de vie, avec une mise en couple plus tardive et une hausse des désunions. En 2015, 69 % des 25-60 ans étaient en couple alors qu'ils étaient 78 % en 1996. En particulier, les familles monoparentales sont devenues 1,6 fois plus nombreuses sur la période. Le renforcement de l' « homogamie de revenu » : les hommes et les femmes sont de plus en plus souvent en couple avec une personne qui perçoit un revenu proche du leur. Cela se traduit par une diminution des inégalités au sein des couples mais par une augmentation des inégalités entre couples. L'impact de ces deux dernières évolutions sociales s'observe lors de la mise en commun des ressources au sein des ménages - une étape qui permet de réduire les inégalités entre individus tant que les écarts de rémunérations entre conjoints persistent. De fait, des couples moins nombreux, c'est moins d'individus susceptibles de
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DREES - Suicide : quels liens avec le travail et le chômage ? Penser la préve... - 0 views

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    En 2016, la France comptabilise près de 9 300 décès par suicide, un chiffre qui s'inscrit à la baisse depuis les années 2000. La moitié de ces décès concerne des personnes en âge de travailler, entre 35 et 64 ans. Ainsi, il se peut que certains de ces suicides soient liés aux conditions de travail des personnes concernées ou à leur vécu d'une situation de chômage. Toutefois, le constat ne peut être que partiellement posé. Le processus suicidaire est en effet un phénomène multifactoriel dans lequel le rôle joué par le travail ou le chômage est difficile à isoler. De plus, le système d'information permettant de répondre à ces questions est perfectible. Centré sur les suicides liés au travail et au chômage, le quatrième rapport de l'Observatoire national du suicide est composé de deux dossiers et de 18 fiches. Ce rapport a été rédigé avant la crise sanitaire liée au Covid-19. Par conséquent, il ne propose pas d'analyse de l'impact psychologique de cette crise ni de ses effets sur les conduites suicidaires. Certains résultats du rapport peuvent néanmoins éclairer la question des effets de cette crise sanitaire sur les travailleurs selon leur situation professionnelle. Le premier dossier revient sur la mise en place de politiques spécifiques de prévention du suicide élaborées ces dernières années et sur l'évolution du cadre législatif de la santé au travail. Malgré ces avancées et tout en rappelant que le travail est protecteur, ce 4ème rapport souligne que certaines conditions de travail et certaines pratiques de management peuvent générer un climat anxiogène pour les travailleurs et créer des risques psycho-sociaux. Même si le lien de causalité avec les conduites suicidaires n'est pas direct, le travail peut ainsi être en cause dans le processus suicidaire. De même, l'impact de la perte d'emploi et l'inactivité forcée occasionnent des formes de souffrances psychiques susceptibles de cond
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Ifop - Regards franco-allemands sur les défis démographiques de l'Europe - 0 views

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    A quelques semaines des élections européennes du mai 2019, Alliance Vita a souhaité connaitre l'opinion des Français et des Allemands sur les grands enjeux démographiques. Cette enquête révèle des conceptions convergentes quant aux solutions à apporter au vieillissement des populations, mais divergentes sur les questions liées à la natalité. Face à la problématique de l'isolement des personnes âgées, les Français et les Allemands retiennent la même hiérarchie entre les solutions proposées dans l'enquête en privilégiant largement des logiques de solidarité (plus de 50% des citations pour « développer des modes d'accompagnement de la dépendance » et « valoriser la solidarité entre les générations »), à des logiques d'ajustement des équilibres démographiques (moins de 30% des citations pour « accroître le recours à l'euthanasie pour les personnes âgées qui le demandent » ; moins de 20% pour « favoriser la venue de populations extra-européennes plus jeunes » et « encourager la natalité »). Si le rapport des Français et des Allemands au vieillissement de la population est assez proche malgré quelques nuances, leurs regards respectifs sur les enjeux liés à la natalité sont en revanche très différents. Les Français retiennent ainsi à égalité « les conditions de vie difficiles pour les familles » (52% des citations) et « la peur de l'avenir » (52%) comme les principales raisons expliquant le décalage entre le désir d'enfant et les naissances effectives. Si les Allemands mettent également « les conditions de vie difficiles pour les familles » en haut de classement (46%), c'est cette fois-ci à égalité avec « la faiblesse des politiques familiales, l'insuffisance des aides accordées aux familles avec enfants » (46% contre 16% seulement en France). On observe enfin que, malgré des situations économiques et sociales très différentes (3,2% de chômage en Allemagne, 8,8% e
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France Stratégie - Nés sous la même étoile ? Origine sociale et niveau de vie - 0 views

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    L'origine sociale joue un rôle plus important sur le niveau de vie des individus que le sexe, l'âge ou l'origine migratoire. Ce poids de l'origine sociale s'explique principalement par l'influence qu'elle a en France sur la réussite scolaire des individus. France Stratégie propose une analyse inédite sur le poids de l'origine sociale sur les revenus, qui ne se borne pas à son influence sur les salaires, mais qui prend également en compte le contexte familial (revenu d'un éventuel conjoint, présence ou non d'enfant dans le ménage). Lorsque l'on classe entre 2011 et 2014 des individus nés entre 1970 et 1984 sur l'échelle des niveaux de vie, et que l'on parcourt cette échelle, c'est la proportion relative d'enfants de catégories populaires ou favorisées qui varie le plus fortement. Ainsi, parmi les 10 % d'individus les plus modestes, on plus de la moitié sont des enfants d'd'ouvriers et moins d'un sur dix est un enfant de cadre supérieur. À l'inverse, parmi les 10 % les plus aisés, un peu moins d'un sur cinq est enfant d'ouvrier et un peu plus d'un sur trois est enfant de cadre supérieur. Pour autant, l'origine sociale d'un individu n'assure pas un niveau de vie particulier : elle influe sur la probabilité d'atteindre une position plutôt qu'une autre. Si les enfants de la classe moyenne ont les mêmes chances d'accéder aux classes les plus modestes ou au aux classes les plus aisées, il en va autrement pour les autres. Un individu dont le père exerce une profession libérale a 50 % de chance de faire partie des 20 % les plus aisés, celui dont le père est professeur 40 %. Pour un enfant d'ouvrier agricole, la probabilité chute à moins de 10 %. L'origine sociale a un effet plus discriminant sur l'accès à un niveau de vie élevé que sur le probabilité de faire partie des ménages modestes. En outre, l'origine sociale beaucoup plus d'impact le niveau de vie des individus
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Opinion Way / France Volontaires - Les Français et les engagements volontaire... - 0 views

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    A l'occasion de la Journée Internationale des Volontaires, le 5 décembre, France Volontaires dévoile les résultats de l'enquête d'opinion réalisée par l'institut OpinionWay, en partenariat avec Courrier International, sur le thème : « Les Français et les engagements volontaires et solidaires à l'international ». Ce sondage révèle les désirs d'engagements des Français, les motivations et les freins, ainsi que la manière dont ils répondent aux enjeux sociétaux ici et là-bas. Parmi les principaux enseignements de cette étude : Les Français perçoivent les bénéfices de l'engagement volontaire à l'international, qui permet de créer une société plus solidaire et plus ouverte à autrui. Près d'une personne sur trois s'est d'ailleurs déj̀ engagée personnellement dans une mission de solidaríté, en France ou à l'international. S'ils en avaient l'opportunité, un tiers des Français seraient prêts à s'engager volontairement pour effectuer des missions à l'international, et en particulier les jeunes. Si tous ne sont pas prêts à partir, la majorité des personnes interrogées voient les bénéfices d'accueillir également en France des volontaires d'autres pays et considèrent ce principe de réciprocité dans le volontariat international comme un bon moyen de favoriser la cohésion sociale et l'ouverture de la société. Les personnes prêtes à partir en mission aspirent avant tout à se rendre utiles, et perçoivent les bénéfices sur le plan personnel que ces missions peuvent apporter : une ouverture sur le monde, des compétences professionnelles, un projet de vie... Les individus prêts à s'engager aimeraient avant tout participer à des missions concernant l'accès à l'éducation, les droits de l'homme ou la lutte contre la pauvreté et les inégalités. Le suivi des parcours d'engagement des individus est un élément important : les per
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Défenseur des droits - Communiqué de presse - Enquête "Accès au droit" sur le... - 0 views

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    Le Défenseur des droits publie, aujourd'hui, un cinquième volet de son enquête « Accès aux droits ». Construite à partir d'un sondage mené en 2016 auprès d'un de 5117 personnes âgées de 18 à 79 ans résidant en France métropolitaine, cette enquête entend mieux définir les groupes sociaux concernés par des difficultés d'accès aux droits. Ce nouveau volet est consacré aux discriminations dans l'accès au logement locatif. Au moment de l'enquête, près d'un quart (24%) des personnes interrogées, majoritairement de moins de 35 ans, ont recherché un logement à louer au cours des cinq dernières années. De l'enquête, il ressort que le logement est perçu à 46% des personnes interrogées comme l'un des principaux domaines susceptibles de produire des discriminations, suivant en cela de près l'emploi ou les contrôles de police. Par ailleurs, parmi les personnes interrogées ayant recherché un logement au cours des 5 dernières années, 14% d'entre elles déclarent avoir vécu une expérience de discrimination au cours de cette recherche. Sont particulièrement concernées les personnes en situation de handicap, pour 19% d'entre elles, les mères seules avec des enfants de moins de trois ans (24%), les personnes immigrées (30%) ou encore les personnes perçues comme noires (40%). Pour autant, les démarches engagées par les personnes ayant déclaré une expérience de discrimination dans la recherche d'un logement à louer pour faire valoir leurs droits restent rares. Ces procédures étant souvent perçues comme complexes, voire dissuasives, seuls 11% des personnes ayant déclaré une expérience de discrimination ont engagé une action pour défendre ou faire valoir ses droits. Cet écart entre discriminations déclarées et démarches engagées invite le Défenseur des droits à poursuivre ses actions de promotion de l'accès aux droits et de lutte contre les discriminations dans l'ensemble du parc locatif,
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Défenseur des droits - Enquête - Enquête "Accès au droit" sur les discriminat... - 0 views

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    Le Défenseur des droits publie, aujourd'hui, un cinquième volet de son enquête « Accès aux droits ». Construite à partir d'un sondage mené en 2016 auprès d'un de 5117 personnes âgées de 18 à 79 ans résidant en France métropolitaine, cette enquête entend mieux définir les groupes sociaux concernés par des difficultés d'accès aux droits. Ce nouveau volet est consacré aux discriminations dans l'accès au logement locatif. Au moment de l'enquête, près d'un quart (24%) des personnes interrogées, majoritairement de moins de 35 ans, ont recherché un logement à louer au cours des cinq dernières années. De l'enquête, il ressort que le logement est perçu à 46% des personnes interrogées comme l'un des principaux domaines susceptibles de produire des discriminations, suivant en cela de près l'emploi ou les contrôles de police. Par ailleurs, parmi les personnes interrogées ayant recherché un logement au cours des 5 dernières années, 14% d'entre elles déclarent avoir vécu une expérience de discrimination au cours de cette recherche. Sont particulièrement concernées les personnes en situation de handicap, pour 19% d'entre elles, les mères seules avec des enfants de moins de trois ans (24%), les personnes immigrées (30%) ou encore les personnes perçues comme noires (40%). Pour autant, les démarches engagées par les personnes ayant déclaré une expérience de discrimination dans la recherche d'un logement à louer pour faire valoir leurs droits restent rares. Ces procédures étant souvent perçues comme complexes, voire dissuasives, seuls 11% des personnes ayant déclaré une expérience de discrimination ont engagé une action pour défendre ou faire valoir ses droits. Cet écart entre discriminations déclarées et démarches engagées invite le Défenseur des droits à poursuivre ses actions de promotion de l'accès aux droits et de lutte contre les discriminations dans l'ensemble du parc locatif,
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Défenseur des droits - Synthèse - Enquête "Accès au droit" sur les discrimina... - 0 views

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    Le Défenseur des droits publie, aujourd'hui, un cinquième volet de son enquête « Accès aux droits ». Construite à partir d'un sondage mené en 2016 auprès d'un de 5117 personnes âgées de 18 à 79 ans résidant en France métropolitaine, cette enquête entend mieux définir les groupes sociaux concernés par des difficultés d'accès aux droits. Ce nouveau volet est consacré aux discriminations dans l'accès au logement locatif. Au moment de l'enquête, près d'un quart (24%) des personnes interrogées, majoritairement de moins de 35 ans, ont recherché un logement à louer au cours des cinq dernières années. De l'enquête, il ressort que le logement est perçu à 46% des personnes interrogées comme l'un des principaux domaines susceptibles de produire des discriminations, suivant en cela de près l'emploi ou les contrôles de police. Par ailleurs, parmi les personnes interrogées ayant recherché un logement au cours des 5 dernières années, 14% d'entre elles déclarent avoir vécu une expérience de discrimination au cours de cette recherche. Sont particulièrement concernées les personnes en situation de handicap, pour 19% d'entre elles, les mères seules avec des enfants de moins de trois ans (24%), les personnes immigrées (30%) ou encore les personnes perçues comme noires (40%). Pour autant, les démarches engagées par les personnes ayant déclaré une expérience de discrimination dans la recherche d'un logement à louer pour faire valoir leurs droits restent rares. Ces procédures étant souvent perçues comme complexes, voire dissuasives, seuls 11% des personnes ayant déclaré une expérience de discrimination ont engagé une action pour défendre ou faire valoir ses droits. Cet écart entre discriminations déclarées et démarches engagées invite le Défenseur des droits à poursuivre ses actions de promotion de l'accès aux droits et de lutte contre les discriminations dans l'ensemble du parc locatif,
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France Stratégie - Document de travail - Comment estimer le rendement de l'in... - 0 views

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    L'investissement social apparaît à la fin des années 1990 comme un modèle d'action sociale renouvelé pour faire face à l'évolution de sociétés fragilisées par l'émergence de nouveaux risques sociaux. Il consiste à investir dans le capital humain des individus de façon à augmenter et à maintenir leurs compétences et leur capacité à supporter les chocs. La notion s'appuie en outre largement sur la promesse que la dépense sociale d'aujourd'hui rapportera à un moment donné. Sa crédibilité repose donc sur l'existence de travaux permettant d'identifier ce rendement. Ce document de travail analyse les recherches existantes sur les impacts de l'investissement social. Il montre que l'approche consistant à lier les dépenses d'investissement social aux performances macroéconomiques des États n'est pas en mesure d'identifier de façon crédible l'effet causal de l'investissement social et a fortiori son rendement. Ce document propose en outre d'adopter une vision plus locale et de séparer en deux étapes l'identification du rendement de l'investissement social. La première consiste à recourir à des évaluations d'impact en adoptant des méthodes qui permettent d'interpréter les résultats comme un lien de cause à effet. Une littérature scientifique abondante évalue déjà l'effet de politiques assimilables à de l'investissement social : la collecte de ces informations est un prérequis pour engager de nouvelles réformes d'investissement social. Nous proposons d'adopter une démarche de collecte systématique et d'analyses statistiques, en produisant davantage de méta-analyses. La deuxième étape consiste à intégrer les résultats des évaluations d'impact dans des modèles de calculs socioéconomiques, afin de comparer les bénéfices des investissements ainsi identifiés aux coûts réels et sociaux de leur mise en œuvre. Le succès de cette étape suppose toutefois de surmonter
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Fondation Abbé Pierre - L'état du mal-logement en France 2016 - 0 views

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    La Fondation Abbé Pierre dresse chaque année son analyse sur la politique et la crise du logement en France au travers son rapport sur l'État du Mal-Logement en France. Le 21e rapport sur l'État du Mal-Logement en France 2016 entend notamment mettre en lumière les liens entre le mal-logement et les problèmes de santé. À bien des égards, la France est malade du mal-logement : la précarité énergétique, l'insalubrité, l'indignité des logements ou l'absence d'un domicile personnel ont des conséquences très graves sur l'état de santé de milliers de personnes (maladies respiratoires, allergies, bronchites, dépression, stress…). Les carences des politiques de logement et de santé s'alimentent mutuellement pour toucher les personnes les plus vulnérables, en particulier celles qui souffrent de troubles psychiatriques. Ce nouveau rapport consacre également un chapitre à la lutte contre la ségrégation urbaine. Après les attentats de janvier 2015, le Premier ministre avait annoncé un projet de loi pour lutter contre « l'apartheid territorial ». Intitulé « Égalité et citoyenneté », ce texte législatif actuellement soumis à la concertation ambitionne de favoriser la mixité sociale. Pour la Fondation Abbé Pierre, cet objectif est légitime face à une ségrégation accrue des « zones urbaines sensibles », à condition de ne pas pénaliser les ménages modestes, comme c'est encore trop souvent le cas. Cela passe par une action volontaire dans les quartiers aisés : renforcement de la loi SRU, construction de logements très sociaux, mobilisation du parc privé et renforcement des intercommunalités. S'il y a des quartiers sensibles, c'est parce qu'il y a des quartiers insensibles. Et, comme chaque année, le rapport de la Fondation Abbé Pierre dresse le tableau de bord du mal-logement, à partir de chiffres actualisés. Il montre la dégradation alarmante de nombreux indicateurs, qu'il s'agisse du nombre
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France Stratégie - Evaluation de la stratégie nationale de prévention et de l... - 0 views

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    "Le comité d'évaluation de la stratégie nationale de prévention et de lutte contre la pauvreté, présidé par Louis Schweitzer, publie son premier rapport annuel. Il s'agit d'une note d'étape qui présente les grands axes de la démarche d'évaluation, les méthodes envisagées et le calendrier des travaux. Deux démarches participatives ont été engagées pour enrichir les travaux du comité : d'une part, la consultation du collège des personnes en situation de pauvreté du Conseil national des politiques de lutte contre la pauvreté et l'exclusion sociale, d'autre part, la réunion d'un panel de trente citoyens représentatifs de la population française. Le comité a décidé que l'évaluation aurait une double dimension stratégique et analytique. Elle sera réalisée à deux niveaux : Une évaluation portant sur trente-cinq mesures et leurs effets Les trente-cinq mesures de la stratégie nationale regroupées autour de cinq thèmes : petite enfance et éducation ; santé ; accompagnement, formation et emploi ; logement et droits sociaux feront l'objet d'un suivi et leurs effets seront évalués au moyen d'indicateurs choisis en fonction des résultats attendus. L'appui sur la littérature scientifique permettra d'apporter un éclairage sur les effets attendus pour chacun des cinq grands thèmes. Certaines mesures feront l'objet d'une évaluation scientifique d'impact afin de déterminer leur effet causal. Une évaluation portant sur la stratégie nationale dans son ensemble La Stratégie vise deux grands objectifs : éviter la reproduction sociale de la pauvreté et permettre aux gens de sortir de la pauvreté. Le comité a décidé d'évaluer également au regard d'un troisième objectif : ne laisser personne en situation de grande pauvreté. L'évaluation prendra en considération les politiques qui partagent l'objectif de lutte contre la pauvreté comme celles qui poursuivent d'autres objectif
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DREES - En Ile-de-France, les retraités perçoivent une pension supérieure de ... - 0 views

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    Fin 2012, les retraités de droit direct représentent 21,6 % de la population française. Ils sont proportionnellement plus nombreux dans l'ouest et le sud de la France, notamment en Nouvelle-Aquitaine et en Bretagne où plus d'une personne sur quatre est retraitée. A contrario, ils sont moins présents dans les DROM et en Île-de-France (respectivement 12 % et 16,4 %). Entre les régions de la Métropole hors Île-de-France, le montant moyen des retraites varie peu. Il est cependant très supérieur à la moyenne nationale en Île-de-France (+23 %) et très inférieur dans les DROM (-21 %). Les disparités des pensions reproduisent en partie celles des salaires. Le montant de la retraite des femmes est en moyenne inférieur de 31 % à celui des hommes. Hormis en Corse et dans les DROM où il est plus faible, cet écart s'observe dans toutes les régions. Les retraités de la fonction publique sont proportionnellement plus présents en Corse et dans les DROM. Les anciens exploitants agricoles sont, eux, relativement plus nombreux en Bretagne et dans les Pays de la Loire.
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Le président de la Conférence des évêques de France bientôt en Irak - Monde -... - 1 views

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    "Mgr Georges Pontier, président de la Conférence des évêques de France, Mgr Olivier Ribadeau-Dumas, porte-parole de l'Église de France, et Mgr Stanislas Lalanne, évêque de Pontoise, se rendront très prochainement au Kurdistan irakien. La délégation française visitera notamment les réfugiés de la ville de Kirkouk, où près de quatre cents étudiants irakiens doivent effectuer leur rentrée universitaire mi-décembre. Porté par Mgr Youssif Thomas Mirkis, archevêque chaldéen de Kirkouk et Souleymanieh, Mgr Pascal Gollnish, directeur de l'Œuvre d'Orient, et l'ensemble des évêques de France, un vaste projet de soutien à ces étudiants a par ailleurs été présenté à la presse ce mercredi 3 décembre. Il s'agit de récolter 1 400 000 euros pour leur fournir un logement, de la nourriture et des fournitures scolaires, afin qu'ils puissent poursuivre leurs études en Irak. Un projet tourné vers l'avenir, qui vise à « redonner de l'espérance à ces jeunes, dont beaucoup ont la tentation de fuir leur pays », a rappelé Mgr Mirkis."
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Secours populaire - Rapport complet - Rapport d'activité 2016 - 0 views

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    Cela ne fait aucun doute. La pauvreté gagne du terrain. Aujourd'hui, on compte près de neuf millions de pauvres en France. C'est un million de plus qu'il y a dix ans. Derrière ces chiffres se cachent des enfants, des hommes et des femmes en détresse, des situations dramatiques au quotidien, des familles désespérées qui viennent pousser la porte de nos antennes. En l'espace d'un an, les demandes d'aide auprès de nos permanences ont explosé. Les bénévoles font face à une augmentation soudaine allant de 15 à 50 % dans certains départements, comme dans l'Hérault. La situation se détériore pour les travailleurs précaires, les personnes en fin de droit, les jeunes, les personnes âgées, celles déboutées du droit d'asile... La peur de sombrer dans la pauvreté aussi se répand dans notre société. Plus d'un Français sur deux (55%) craint que sa vie quotidienne soit menacée par la pauvreté. Ils étaient déjà 45% avant la crise économique de 2008. Ils ne sont pas plus optimistes pour les générations futures, puisque 83% des Français estiment que les risques de connaître une situation de pauvreté seront plus importants pour leurs enfants. La pauvreté et l'exclusion abîment les êtres. Les Français les plus pauvres se privent de tout, vacances, loisirs, culture, mais aussi alimentation. Ils en viennent à sacrifier leur santé. Ainsi, 50% d'entre eux ont déjà renoncé à effectuer une consultation chez le dentiste (+22% par rapport à 2008). C'est pourquoi les « Médecins du Secours populaire » s'efforcent d'aider à l'accès aux soins pour tous. N'oublions pas les personnes au-delà de nos frontières qui souffrent de la faim ou qui sont confrontées à la violence et aux catastrophes naturelles, comme en Equateur ou en Italie en 2016. Encore aujourd'hui, 10% de la population mondiale est confrontée à la pauvreté. Et comment rester insensible aux millions de personnes déplacées, qui fuient la vio
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Secours populaire - Essentiel - Rapport d'activité 2016 - 0 views

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    Cela ne fait aucun doute. La pauvreté gagne du terrain. Aujourd'hui, on compte près de neuf millions de pauvres en France. C'est un million de plus qu'il y a dix ans. Derrière ces chiffres se cachent des enfants, des hommes et des femmes en détresse, des situations dramatiques au quotidien, des familles désespérées qui viennent pousser la porte de nos antennes. En l'espace d'un an, les demandes d'aide auprès de nos permanences ont explosé. Les bénévoles font face à une augmentation soudaine allant de 15 à 50 % dans certains départements, comme dans l'Hérault. La situation se détériore pour les travailleurs précaires, les personnes en fin de droit, les jeunes, les personnes âgées, celles déboutées du droit d'asile... La peur de sombrer dans la pauvreté aussi se répand dans notre société. Plus d'un Français sur deux (55%) craint que sa vie quotidienne soit menacée par la pauvreté. Ils étaient déjà 45% avant la crise économique de 2008. Ils ne sont pas plus optimistes pour les générations futures, puisque 83% des Français estiment que les risques de connaître une situation de pauvreté seront plus importants pour leurs enfants. La pauvreté et l'exclusion abîment les êtres. Les Français les plus pauvres se privent de tout, vacances, loisirs, culture, mais aussi alimentation. Ils en viennent à sacrifier leur santé. Ainsi, 50% d'entre eux ont déjà renoncé à effectuer une consultation chez le dentiste (+22% par rapport à 2008). C'est pourquoi les « Médecins du Secours populaire » s'efforcent d'aider à l'accès aux soins pour tous. N'oublions pas les personnes au-delà de nos frontières qui souffrent de la faim ou qui sont confrontées à la violence et aux catastrophes naturelles, comme en Equateur ou en Italie en 2016. Encore aujourd'hui, 10% de la population mondiale est confrontée à la pauvreté. Et comment rester insensible aux millions de personnes déplacées, qui fuient la vio
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Insee - Revenus-Salaires - Les niveaux de vie en 2014 - 0 views

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    "En 2014, en France, le niveau de vie médian de la population s'élève à 20 150 euros annuels, soit un montant proche de celui de 2013 en euros constants. Il stagne depuis le début de la crise, en 2008. Dans le haut de la distribution, la situation continue de se dégrader, mais de façon moins marquée qu'en 2013. Dans le bas de la distribution, après la hausse de 2013, le niveau de vie du premier décile se stabilise. En 2014, les 10 % de personnes les plus modestes ont un niveau de vie inférieur à 10 770 euros. Les 10 % les plus aisés ont un niveau de vie au moins 3,5 fois supérieur, au-delà de 37 260 euros. Après deux années de baisse, les inégalités globales, mesurées par l'indice de Gini, se stabilisent en 2014. Depuis le début de la crise économique, les inégalités se sont un peu plus réduites en France que dans le reste de l'Union européenne à 27. Le seuil de pauvreté, qui correspond à 60 % du niveau de vie médian de la population, s'établit à 1 008 euros mensuels. La pauvreté ainsi définie touche 14,1 % de la population, proportion stable par rapport à 2013. La situation vis-à-vis de la pauvreté est grandement dépendante du statut d'activité. En 2014, 36,6 % des chômeurs vivent au-dessous du seuil de pauvreté. La situation familiale joue aussi un rôle important, 35,9 % des personnes vivant dans une famille monoparentale sont pauvres en termes monétaires. "
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Observatoire des inégalités - Inégalités : une hypocrisie française - 0 views

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    "Le tableau des inégalités brossé par la seconde édition du Rapport sur les inégalités en France ne pousse pas à l'optimisme. Les classes favorisées, gourmandes, en veulent « toujours plus ». Rien de nouveau, mais le refus de voir les inégalités sociales dont sont victimes les classes populaires, l'exploitation des travailleurs flexibles par des stables, la précarité et le chômage des non-diplômés, conduit à une exaspération qui s'exprime dans les urnes. Le débat sur l'état des inégalités est loin d'être à la hauteur. Un grand nombre de commentateurs refusent de voir les conséquences de cette montée des écarts entre milieux sociaux. À l'opposé, la dramatisation n'aide pas davantage. Ainsi par exemple, l'école française n'amplifie pas les inégalités comme l'a pourtant indiqué récemment un rapport officiel. Le modèle d'un État social à la française, s'il n'a rien de « providence », n'est pas à l'agonie : notre pays demeure l'un des pays où il fait le meilleur vivre sur la planète. Les autres pays sont loin de faire mieux que la France, y compris dans le domaine de l'emploi. Le chômage mine notre société mais les meilleures « performances » de nos voisins ont le plus souvent été obtenues au prix d'une montée de la pauvreté laborieuse ou en sortant une partie des actifs du marché du travail. Dans ce concert confus, le Rapport sur les inégalités en France cherche à apporter des éléments concrets qui visent à décrire la réalité sociale comme elle se présente, sans être « à charge ». Ceux qui manient la critique sociale sans retenue, même avec la meilleure volonté du monde, gagneraient à y réfléchir à deux fois et devraient se demander quels intérêts ils servent au final. Une partie de ceux qui dénoncent les inégalités défendent des modèles sociaux encore plus inégalitaires."
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